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EgOtRiP
21 décembre 2006

***ti-ange***

voila le dernier,celui qui encore aujourd'hui me fait pleurer. Merci mon ange pour tes mots posés,merci pour ta sincérité,pour ta volonté,ta présence, et ton attention.Je t'aime très profondément, et suis tellement heureuse de t'avoir connue entre ces murs blancs,loin de fous.

C’est une histoire qui se passe dans un lieu spécial
Pas de nuits embrouillées, ni de paysages ensoleillées.
Une histoire de personnes paumées et qui se l’avouent,
Sans histoire d’amour, sans armure, sans fusée.

Des couloirs trop étroits, des portes trop fermées,
Et puis ces filles ni anges, ni démons peut-être des fées
Qui se cherchent, se blessent, tentent de s’apprivoiser
Une histoire de tendresse, de folies et d’amitié.

Quand les véritables fous seront prisonniers de ces murs
Ces fées pourront s’envoler vers des terres sans frontières
Mais les fous courent toujours après l’argent, la réussite
Mais les fous cachent toujours le véritable bonheur.
Quand les véritables fous se retrouveront enfermés
Ces fées n’auront plus peur le soir, leurs larmes cesseront
Mais la terre tourne toujours poussée par ces fous
Qui nous étouffe par leurs billets, leurs envies de gouverner.

C’est une histoire qui fait plus rêver que toutes les autres
L’histoire de mes fées cachées derrière ces murs blancs.
Une histoire de personnes aux yeux trop ouverts
Qui finalement ne voit plus que la peur et le sang.

Une chambre trop étroite où mes angoisses ne tiennent pas
Et puis ces filles si anges, si démons, ces fées si absentes
Que je cherche, quand le mal vient me récupérer inépuisable,
Une histoire de bonheur qui joue à cache-cache avec moi.

Quand les véritables fous prendront la place de mes fées
Ceux qui pensent tout savoir connaîtront la douleur
Mais ces fous ne connaissent que le poids de leurs armes
Mais ces fous ne font rien d’autres que payer le malheur.
Quand ceux qui ne croient pas aux fées se retrouveront face à elles
Ces ignorants leur feront peur le soir, feront couler leurs larmes
Mais mon monde tourne toujours entraîné par des ignorants
Qui ignore mes faiblesses, la douleur qui saisit mes fées et moi.

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